La deuxième partie est liée au tracking et à la donnée que l’on va récupérer sur le comportement des internautes sur le site. Il s’agit d’un tracker JavaScript que l’on met sur les sites, ou d’une API que l’on peut utiliser sur les applications mobiles, notamment. Cela comprend également la possibilité de remonter des données offlines des magasins, comme ses ventes, ses paniers ou ses tickets de caisse. Il s’agit là de flux, qui peuvent passer par des API ou par des intégrations natives avec les plateformes e-commerce du marché.
Nous sommes également partenaires de gestionnaires de tags comme Google Tag Manager ou Tag Commander. Enfin, la troisième partie (qui est la plus importante) est centrée sur l’implémentation des fonctionnalités. Notre API va permettre d’activer des fonctionnalités de search, de recommandation, de merchandising sur le site. C’est généralement le client qui va implémenter nos API pour aller interroger notre plateforme et savoir ce qu’il faut montrer, à quel internaute, sur un touch point en particulier, sur le site ou sur les apps. Si le client n’a pas ou peu de ressources internes, cela peut être fait également par nos équipes ou par des partenaires qui nous permettent d’accompagner nos clients dans l’implémentation de la solution.
Quelles sont les principales techniques actuelles pour aider au mieux l’acheteur dans son parcours ?
Je pense qu’il faut séparer deux typologies d’acheteurs, ou en tout cas deux états d’esprit dans lequel peut être l’acheteur. Parfois, il sait ce qu’il veut et il faut l’aider à trouver le bon produit, au bon endroit, au bon moment. Dans ce cas, il passe généralement par le moteur de recherche et va être expressif sur sa recherche.